La mention Chambre de Commerce de Toulouse
domine à gauche le chiffre arabe 1 , blanc, bordé
de vert, et barré par Délibération du 20 juin 1917
qui surmonte Le Trésorier » (et sa signature).
A droite, le même chiffre 1 barré par
Emission 1917
surmonte Le Président (et sa signature).
La série est indiquée en bas à gauche. En bas et au centre, le numéro du billet a été
apposé secondairement en noir.
Dans un médaillon ovale central, on retrouve sur fond blanc le navire dessiné par Roschach
qui avait déjà figuré au recto des billets de la première émission.
Au verso, sur six lignes figure figure le texte :
Ce Billet échangeable contre des
Billets de la Banque de France doit être présenté
Au remboursement avant le 31 Décembre 1922
Sous peine de prescription passé ce délai.
Les fonds en nantissement sont déposés suivant
Circulaire ministérielle au compte du Trésor.
Sont reproduites, aux quatre angles les armes du chef-lieu et des trois sous-préfectures
de Haute-Garonne :
- dans l’angle supérieur gauche, les armes de Toulouse « de gueules, à croix vidée, cléchée
et pommetée de douze pièces d’or ; en pointe, un agneau d’argent, la tête détournée,
accompagné à dextre du Château Narbonnais d’argent, et à senestre de l’Eglise Saint-Sernin de même;
au chef d’azur semé de fleurs de lys d’or »;
- dans l’angle supérieur droit les armes de Muret « blason écartelé ; aux 1 et 4 de gueules,
à un château à trois tour d’argent, ouvert du champ, maçonné de sable ; aux 2 et 3, de gueules
à quatre otelles d’argent posées en sautoir »;
- dans l’angle inférieur gauche, les armes de Saint-Gaudens « d’azur, à une cloche d’argent
bataillée d’or »;
- dans l’angle inférieur droit les armes de Villefranche de Lauragais
« de gueules, à une croix de Toulouse d’or, accostée en pointe de deux tours d’argent:
au chef d’azur chargé de trois fleurs de lys d’or ».
A l’extérieur du cadre, sur le fond blanc sont portés, à gauche,
C. Berdoulat , et à droite
Toulouse ,
mentions figurant en mêmes places sur le billet de 1 franc du premier type, mais au recto.
Six séries vont être émises jusqu’en 1919, de la Série 1
à la Série 6, les cinq premières de 1 000 000 de coupures
chacune , la dernière de 250 000 seulement.
On ne connaît pas de billet d'essai ou d'épreuve pour les Série 5 et 6 de ces bons de 1917.
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